A l'ère du réchauffement climatique notre regard sur les paysages naturels a changé. Entourée de vastes paysages, Sarah Watson réfléchit au paradoxe d’une nature sauvage et sans limite coexistant avec un panorama rythmé, structuré et façonné par les êtres humains. 

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Les œuvres céramiques récentes s’agitent de petits échantillons du paysage transposés dans notre intérieur domestique : ce sont des reliques de notre relation avec un monde qui se réchauffe.

 

Son trait bien délimité s’inspire du modernisme ainsi que de sa formation d’architecte; les sculptures font également référence au design industriel d’objets trouvés dans nos maisons.